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Après la publication d’un premier texte sur le secteur aérien en juillet, le groupe de travail aérien d’Attac publie aujourd’hui un deuxième texte plus détaillé, disponible en version web ici, et en version imprimable là. Nous nous sommes fixés pour objectif d’établir une position argumentée d’Attac sur le secteur aérien. Les divergences entre des organisations dont nous sommes partenaires peuvent être importantes, entre des syndicats de salarié·es et des ONG environnementales (Greenpeace, RAC, Alternatiba...) Nous avons cherché à prendre en compte tous les aspects de cette question.
Le débat ces jours derniers sur l’écotaxe sur le transport aérien ou la fermeture de lignes aériennes intérieures proposées par la Convention citoyenne pour le climat oppose une fois de plus les tenants d’un secteur contesté pour son impact climatique et environnemental et les organisations de lutte pour la protection de la planète et contre le dérèglement climatique. Comme pour d’autres campagnes : Amazon, 5G, nucléaire et ici l’aérien, l’arme brandie est toujours celle des suppressions d’emplois que pourrait provoquer toute mesure de régulation. Notre argumentaire est différent selon les secteurs. Pour l’aérien, les suppressions d’emplois provoquées par les mesures visant à réduire drastiquement le trafic aérien justifient que la question soit prise en charge globalement par l’État en négociation avec tous les acteurs : des salarié·es aux ONG environnementales en passant par les entreprises.
À noter :
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> Nous animerons un atelier à la Conférence nationale des comités locaux samedi 14 novembre à Paris.
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> Nous vous donnons rendez-vous pour la journée d’action nationale sur les aéroports le samedi 3 octobre, en présentiel dans les villes organisant une mobilisation ou sur les réseaux sociaux. Merci de nous faire remonter vos projets d’action seuls ou avec des groupes locaux d’Alternatiba, à l’adresse aerien-contact@attac.org !
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