Vote des mandaté·es lors de la prochaine CNCL

 
 

Communiqué 24 mars 2022

 
 

Bonjour chers comités locaux d’Attac !

La prochaine CNCL se tiendra comme vous le savez le samedi 23 avril en visio-conférence et nous attendons vos propositions d’ateliers à l’adresse suivante : cncl-travail@list.attac.org.

 
 

Lors d’une CNCL, des décisions peuvent être prises, notamment pour notre fonctionnement à l’issue d’un vote des mandaté·es.

Attention ! Ce sera le cas pour la prochaine CNCL du 23 avril 2022 sur les 3 points suivants : Merci donc d’en discuter et de transmettre vos arguments et votre position par votre mandaté·e.

1 - Changer le nom de la CNCL

En résumé, lors de la dernière CNCL, une grosse majorité considérait que « conférence nationale » ne représente pas bien notre structure. 2 propositions se sont dégagées :

  • > « rencontre des comités locaux » (RCL), appellation simple et qui correspondant bien à la réalité
  • > ou « rencontre inter comités locaux » (RIC ou RICL)  : clin d’oeil aux gilets jaunes, mais peut-être vaut-il mieux éviter les allusions circonstancielles et les jeux de mots : à vous de choisir et de transmettre votre choix par votre mandaté·e !

2 - Valider (ou pas) le principe d’une CNCL par an en distanciel : donc une sur trois, voire une sur deux si on ramenait l’organisation à 2 CNCL par an. (cf question suivante)

Arguments pour : cela favorise la participation de celles et ceux qui ne se déplacent pas en présentiel, il y a plusieurs autres événements nationaux (AG, Assises, 25 ans...) et potentiellement moins de monde à chacun d’entre-eux surtout s’ils sont à dates rapprochées.
Arguments contre : certain·es n’y participent pas, ne supportant pas les visios. Il n’y a pas la convivialité d’une vraie rencontre. La prise de parole est plus difficile. Il n’y a pas la richesse des échanges informels.

3 - Valider (ou pas) ou du moins débattre du principe de libérer un créneau de CNCL pour faciliter l’organisation des journées en région

ce point là ne donnerait pas lieu à vote le 23 avril prochain, mais chaque CL pourra amener sa position à titre indicatif.
Nous ferons aussi un bilan des journées régionales qui auront déjà eu lieu.

Arguments pour :

  • > Les journées en région viennent d’être lancées par le CA ; elles permettent des rencontres entre CL d’une même grande région et de faire le lien entre le CA et les CL.
  • > Elles peuvent davantage aboutir à des collaborations futures entre des CL géographiquement proches. Une ou deux personnes du CA se déplacent, les sujets sont décidés en amont avec les CL.
  • > Elles occasionnent un déplacement moindre pour potentiellement plus de personnes, y compris des adhérent·es isolé·es, sans mandat particulier, de façon plus informelle.
    Donc, engagement moindre (financièrement et en km parcourus) et regroupement « plus à la base » entre militant·es ayant envie d’agir.
  • > Comme ça prend des week-ends supplémentaires aux membres du CA, il peut être difficile de les ajouter à ceux déjà pris pour les CNCL et instances diverses. Et comme les CL sont aussi engagés dans les luttes locales, ça peut être compliqué de convaincre les militant·es de l’intérêt d’une rencontre à Paris (même s’ils et elles sont conquis·es après la participation à une CNCL !)

Arguments contre :

  • > Les rencontres nationales entre CL sont une grande richesse, surtout en présentiel, c’est aussi une structure horizontale qui participe à la vie démocratique de l’association. Les ramener à une par an en présentiel, plus une en distanciel, c’est notoirement insuffisant.
    D’autant que depuis quelques années - et ce n’est pas une critique - les Universités d’Eté, autres temps forts où il y a des ateliers, s’organisent non pas au sein d’Attac, mais avec d’autres structures et mouvements : y présenter un atelier n’est pas à la portée du premier CL venu, il faut réunir plusieurs assos, plusieurs pays, être retenu.... Du coup, besoin de conserver ces moments de partage et de construction interne entre comités locaux d’Attac au niveau national, plus riches qu’à un niveau régional où l’on se connaît déjà plus ou moins. Besoin de connaître les membres fondateurs, besoin de rencontrer les membres du Conseil Scientifique.... Se rencontrer, écouter les positions des uns et des autres, ça ouvre l’esprit et ça permet aussi de voter moins « en aveugle » au CA national. Il ne faut pas diminuer le nombre de ces rencontres.
 
 

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